Francesco, un homme, un monstre...
- J'suis pas un fils "Imperial", nan, un fils "Militar" plutôt.:
-Attend, attend, ferme ta gueule je parle ! Laisse moi raconter mon histoire... Bon, j'vais commencer par où moi ! Ah, par le début tiens...
-Alors, hum, j'suis née ici moi, mon père et ma mère viens du Mexique donc j'suis Méxicain moi aussi. A ma naissance, ils parlaient presque l'espagno, beh ouai j'te rappel qu'il vennait directement du Mexique grace à un de ses potes. Du coup, moi j'ai presque que parlais l'espagnol pendant un bon bout de temps. Et, mon père, c'était un gars bien, je savais pas trop ce qu'il faisait de ses journées à l'époque mais aujourd'hui j'ai tout compris: Tout ses tatouages, tout ses potes, toute ses tunes et j'en passe. J'me rappelle que des fois, lorsqu'il était avec ses potes, il me prennait dans ses bras et continuait à parler, le soir, lorsqu'il sortait avec beaucoup de ses frères, il venait faire une prière avec moi avant de m'embrasser sur le front et de partir. Ma mère, elle était habitué à tout sa, elle savait ce qui ce passait, elle priait, elle aussi. J'me rappel d'un jours, où, je me suis réveillais un matin par les cries de ma mère, elle criait sur mon père qui saignait beaucoup au niveau du bras. Je me suis caché au niveau des escaliers et ma mère elle lui criait dessus, lui qui était assis sur le canapé avec pleins de bandage qu'il était en train de se mettre. Mon père essayait de lui expliquer que la police avait arreté un grand du quartier et qu'il était tous partis attaqué le convoi et ont libéré leurs frère. Moi je comprennais pas tous, je savais pas trop comment il avait fais pour ce blesser comme sa, pour moi, c'était un père comme tout les autres père du quartier. Disons aussi, que dans ce quartier, tout le monde était tatoué. J'me souviens aussi de ces nuits, où il faisait la fete pour je ne sais qu'elle raison après etre tous partis dans des camionettes. J'avais à peine 8 ans et j'avais déjà vu les larmes de ma mère coulaient, le sang de mon père s'étallait. Un jour, mon père avait acheté une de ces camionettes de couleurs noirs avec lesquels il partait je ne sais où et revennait moins nombreux, pleins de sueur et comme traumatisé.
** Francesco s'arreta quelque instant et saisit une tranche de pains dans laquel il glissa une merguez sortant directement du barbecue puis referme le pains et croque rapidement dedans avant de reprendre son histoire **
Une après midi d'été je crois, alors que mon père et des jeunes du quartier à peine tatoué ce diriger vers le carwash, j'avais décidé de rien dire à mes potes et d'aller directement voir ce qu'il y avait dans le coffre de sa camionette. Je sais pas trop, si je dois regretter où pas ce moment, le moment ou lorsque j'ai ouvert, j'ai découvert d'horrible chose. J'ai d'abord vu, beaucoup de sang, des armes un peu partout, des fusils mitrailleur, des pistolets, des shotguns, bref une vrai artillerie de guerre. Et, il y avait aussi des sac poubelles, j'eu à peine le temps de l'ouvrir pour voir que ces sac étaient remplis de cannabis, je sais pas trop combien il y en avait mais avant de pouvoir vérifier si il y en avait dans chaque sac, un des jeunes du quartier ma surpris à l'arrière de son véhicule. Il ma tirait violament et j'ai glissé sur une douille. Comme un cabron, je suis tombé et heuresement, le gars ma receptionnait sinon, je croit que j'aurais souffert. Il a appelé mon père en me surveillant le temps de son arrivé. Il voulait pas me laisser partir, je savais pas trop quoi faire. Quand mon père est arrivé, et qu'il ma vue avec des traces de sang sur moi, les portes arrières de sa camionette à peine fermé, il avait tout de suite compris. Il ma enmenait avec lui dans sa camionette dans une foret plus au nord, c'était pas trop loins. Je suis arrivé près des caravanes, je savais pas ce que je faisais la, il et souleve son T-shirt à l'arrière et à saisit lentement une arme. Il ma tout d'abord dis son nom, que je me souviens plus, puis a tendu la crosse de l'arme vers moi et c'est dirigé à l'arrière du van. Il a lui aussi saisit une arme du meme type et après avoir fermé son véhicule il ma demandé de le suivre. On avait marché une bonne dizaine de minutes, on était assez loins dans les bois et ma montré un arbre du doigt. Il ma tout d'abord appris à tirer avec l'arme, j'avais assez peur, c'étais la première fois que je touchais une arme. Mon père tirait bien mais bon moi, c'était ma première fois... On avait tiré pendant une demi heure puis on est repartis et j'ai promis de ne rien dire à ma mère sur ce qui c'est passé.
** Francesco croqua une nouvelle fois dans son sandwich et attrape sa canette de bière qu'il approcha à ses lèvres et pris une gorgée puis repose la bouteille sur la table **
- Un choc, mais un choix de Dieux.:
- C'est bon la, j'ai fini mon joint... Tu peux reprendre l'histoire, m'enfin, ton histoire quoi !
- Orales... Bon, après que mon père ma appris à tirer avec son gun, j'ai commencé à parler à ses potes, à rencontrer quelques personnes. Il y avait des hauts et des bas. Je parlais à pas grand monde, je traînais toujours avec mes anciens potes mais on été plus nombreux, on traînait avec des plus vieux, des gars peu tatoué. La routine continué toujours quoi, ils partaient nombreux et revenez peu. J'me rappel même d'une fois où avec tout les gars, on a été au cimetière, il y avait des gars tatoué de la tète au pied au gars qui sont juste tatoué d'un seul tatouage. J'étais un des seuls à pas trop savoir ce que je faisais ici avec mes potes, tout les gars étaient dégoûtés, enfin ouai, tout le monde, même moi car je voyais des potes, mon père, vraiment triste. Je connaissais pas le gars mort, mais je sais qu'on était nombreux et qu'on parlait exclusivement espagnol. Cette après midi c'est terminé à l'église avant que je vis pour la première fois de toute ma vie, pleins de gars, presque tout le quartier prendre les armes et partir je ne sais où. Ma mère était vraiment angoissé, les anciens appelaient du monde pour faire une prière commune au milieu du quartier. Je me souviens de pleins de véhicules de toutes les couleurs, des véhicules neuf, comme des vieux véhicules pleins de tags. Ce soir, j'ai vu pour la première fois, un homme, une légende pour moi, ce gars, appelé "El Jefe", tout le monde le respecté, moi je le craignais personnellement, c'été un gars assez sombre, avec pleins de tatouages, des cicatrices... C'était le genre de gars dont tu fais des cauchemars à l'idée de le croiser seul dans une ruelle sombre. Ce gars avait la réputation d’être un tueur, le genre de gars à pas faire chier. Il existait une vrai légende sur lui, on raconte meme qu'avec ses gars ils auraient libéré un gars de taule, en s'attaquant directement au convoi ! Un truc de fou quoi ! Tu m'diras, aujourd'hui on en serait capable aussi... M'enfin c'est pas le sujet
- Va y hombre, raconte la légende de ce Jefe !
-C'est pas le sujet, je te raconte ma vie mierda ! Pas la légende de cet hombre. M'enfin, prochaine fois que tu me coupe je te coupe un doigts et je le met à cuire.
-Orales, Orales...
** Dit l'homme en récupérant une cuisse de poulet bien cuite qui restait seule dans son assiette avant de commencer à la manger en observant les diverses femmes alternativement autour de la table **
-Bon j'reprend... J'en étais où moi maintenant... Ah ouai ! Au départ d'une véritable armée, tu vois, c'est même l'armée Impérial en faite. Ils sont tous partis, armée jusqu'au dents, près à tuer, on aurait même dis une armée de chiens enragé. Ce soir la, cette nuit, je n'avais pas dormis, le quartier n'a pas dormis. On entendait pas le bruit des balles, les explosions des cocktails Molotov mais on voyait la fumée noir dans le ciel, on se doutait que les hommes se battaient avec des autres gars et la police. Mais cette nuit la, elle doit rester dans les mémoires. Cette nuit la, c'est le soir où Imperial Militar Christianismo donne tout sa signification. L'armée Impérial partant se battre sous la protection du Christ. Le lendemain, après une courte nuit de sommeil, réveillé par des bruits derrière la porte, il y avait pleins d'hommes, je savais ce que cela voulait dire, mais j’espérais que Dieux ne me fasse pas subir une tel épreuve. Les hommes étaient venu m'annoncer, que le Christ n'avait pas su veillé sur tout les hommes, qu'il n'en avait pas la capacité. Et que, mon père, ce guerrier, ce héros, est tombé sous les balles. Je me souviens de ce matin là, comme si c'était hier, le matin où, sous le soleil levant, la tête tournée vers ces hommes Impériaux, la dernière larme de mon corps, tomba au sol comme mon père fut tombé quelques heures plutôt. ** Francesco se leva et se dirigea vers sa vieille mère qui, présente autour de la table l'écoutait avec admiration la larme au coin de l'oeil. Il se baissa légerement afin de se mettre à son niveau avant de lui dire quelques mots en espagnol. **
- Ne pleure pas, Dieux avait fait un choix, mon père, ton mari, était un héros. J'vais passer un peu cette épreuve que Dieux ma imposé... J'ai rapidement grandis après ça, j'étais l'homme de la maison ! Mes seuls frère étaient les gars avec qui j'ai toujours traîné, avec qui j'évolué, je commençais à rentrer de plus en plus tard, au regret de ma mère qui me voyais suivre les traces de la personne que j'ai toujours considéré comme un héros ; Mon père. Chaque jours, ma prière ce tournait vers mon père et ces hommes qui faisaient couler les larmes des familles et le sang des ennemis. C'été dur, mais la douleur devenait l'habitude, chaque prière devenait un appel à l'aide au seigneur.
- Famille de sang, et famille pour le sang :
-Bon va y, je te raconte la suite ! Profite, j'suis encore en état...
-Orales, j't'écoute !
-Avec ce que je t'ai déjà raconté, tu peux pigé que... J'ai pas eu une jeunesse toute rose, entre l'école, où, c'étais soit tu es latino, soit tu es noir, ces jours où des plus vieux essayer de te voler le si peu d'argent que tu avais sur toi... Bref, l'école c'étais un enfer à l'époque, entre les bagarres quotidienne où on imitais les grands, et finalement, plus je grandissais plus je comprenais que le seul moyen de survivre était de rejoindre les gars du quartier, rejoindre ce gang puissant du Nord. A cet époque, je devais déjà m'imposer, j'ai appris à connaitre des autres mecs du quartier, des personnes qui voulaient devenir comme tout ces grands, ces gars pleins d'argent et d'armes, prêt à se battre pour ce que les personnes appelé un gang. J'avais jamais pensé que ce terme de gang pour réellement s'adapter à mon quartier, Los Flores, les latino tatoués de la tête au pied... J'étais vraiment naïf pour pensé que c'été juste un style, un mode de vie qui m'attirais, vivre dans la haine, la violence et la peur. Pour pas te mentir, beaucoup de personnes m'effrayé, des plus tatoués au plus dangereux. Je me rappel aussi du passage de latino du Sud, je repérer pas les tète et je me méfiais d'eux. Je devais avoir 14 ou 15 ans quand ces hommes comme nous, nous côtoyer sans aucun problème. Et, j'ai vite changé, pour tout te dire entre ma jeune enfance et mon adolescence, j'ai appris à me battre et je devais me faire respecter pour suivre les traces de mon père, je devais être le meilleur ! Le plus fort, le plus intelligent, le plus rapide, le meilleur tireur, le meilleur conducteur. Car oui, cet époque à marqué ma vie, c'est le début de mon aventure, j'étais passé de simple gamin qui joué à la guerre avec mes copains ou petit gars du quartier qui s'amusé à essayer de voler des voitures pour se faire de l'argent de poche. C'étais un réellement changement de vie radical, ma mère me voyait partir le matin à pied m'amuser, et me revoyais rentrer le soir avec un nouveau vélo. Alors que mon rythme de vie s'adaptais à la rue, alors que je roulais mon premier joint, je voyais ma mère vieillir et prier pour que rien ne m'arrive. Et, pourtant, à l'époque je me contentais simplement de voler quelques voitures, passer à tabac quelques négro et tout ça, je dirais que je faisais sa pour me donner un nom, pour suivre mon père, et pour m'amuser.
** Francesco tendra sa mains vers une nouvelle canette de bière avant de l'ouvrir vivement et de prendre quelque gorgée en soupirant légérement, avant de retorquer **
- Pwaa, tu va finir par mieux me connaitre que ma propre mère toi ! Jajaja Bon va y, je continue ! J'en étais où... Ah ouai ! C'est bon, alors... Dans le quartier, j'avais pas de blaze, les gars m'appelaient comme ils voulaient et finalement je m'en foutais, je voyais pas l’intérêt d'avoir un blaze. Et, puis, les premiers deal de drogue ont commençais, je pouvais pas dire mon nom comme ça, alors à chaque client je changeais de nom. C'étais la bonne solution tu me diras ! Personne savait qui était cette personne qui était la même, moi même. Mais sa devenait compliqué en réalité, on t'appelais, mais tu savais pas que tu avais donné ce nom à tel ou tel personne. Et toute façon, je devais vendre ordre du Jefe, justement lui je l'aimais pas, j'aurais fais n'importe quoi pour éviter de rester avec lui. Il passait son temps à m'insulter et à me cogner, il me répétait toujours que j'étais une merde, que j'étais faible, pas fort, rien ! Alors je me consolait avec d'autres frères qui subissaient le même sort autour de ces bouteilles d'alcool et de ces joints qui passaient de mains en mains. J'avais honte concrètement, j'étais une merde au yeux des grands, un branleur, un petit joueur, un bagarreur du dimanche. C'est à partir de la, j'ai commençais à taper plus fort, à passer mon temps à m’entraîner, à me muscler, je devais finir comme les grands ! Un de ces gars qui pouvait insulté qui il voulait, un de ces gars qui avait un gros calibre à la ceinture. Malgré l'énervement qu'il me causait, je lui était fidèle, ils me faisaient découvrir la rue, découvrir Los Angeles. Avec les autres, c'étaient plus de l’amitié, mais c'étais devenu de la fraternité. Si les gars m'appelaient pour aller me battre même devant milles hommes, même si sa puais l'hospitalisation, j'étais présent, j'étais la pour me battre, pour mes frères, pour mon quartier. Et puis, finalement, peu importe ce que je faisais, les droites s’enchaînaient dans ma face, les coups étaient devenu une partie de moi. Et dire que ce gars était connu pour être un voleur, El Ladron, merde... Certain l'appelé le Lardon, mais bon, si j'aurais dis ça, je ne pense pas que j'aurais été présent aujourd'hui pour te raconter mon histoire Jaja ! Dans le fond, ce gars était un type bien... En réalité, il me tapait tellement, je faisais tellement le con, et je me faisait tellement remarquer. Qu'un jours, il m'avait emmené voir les latino du Sud, et... Ma demandé clairement quel blaze je voulais avoir, de manière officiel. Je n'avais jamais pensé devoir répondre un jour à cet question. Mes deux, trois propositions qui devaient surement être nul m'ont été catégoriquement refusé. Il ma alors donné le surnom "El Burro", désormais, la seule personne qui m'appelait encore Francesco, était ma mère. Ma famille m'avait appelé El Burro comme ma famille de sang m'avait appelé Francesco à ma naissance. Je ne te cacherais pas que quelque jours après, j'ai eu un jolie coup de tête de sa part dans le nez, on m'avait appelé derrière le bar, avec un grand pour ce coup de tête, j'avais acquis cette confiance, j'étais désormais un de ces Impérial Militar Christianismo.
- Le pouvoir, la richesse et l'amour:
Les années sont passés... L'argent rentrée... Je commençais à avoir un arsenal militaire chez moi. Ma mère était morte, le quartier m'avait fais sourir à la vie et j'avais pris gout à l'argent. Que demandais de plus? J'avais atteint une place inespéré, j'avais fracassé, buté, charcuter nombre de personnes... Qu'es qu'un homme peut espéré de plus? L'argent, le pouvoir, il me manquait l'amour. Cet amour je l'avais trouvé, elle habitait dans la campagne, Dillimore près de mes amis les Bikers, les Outlaws. Je crois que c'étais la relation à laquelle je tenais le mieux, j'accrochais le mieux. Je vais t'épargner ses délires de salopes Aha ! C'étais le pieds, m'enfin... Tout allais bien, elle étais danseuse, beau corps, mais un peu trop proches de certains hommes à mon gout. J'en parlais rarement, j'en parlais essentiellement à ma famille de sang, ma famille pour le sang me croyais manipuler lorsque pour je ne sais plus trop quel histoire, Karna avait voulu la buter. A partir de ce moment, sa a été la descente aux enfers, du moins pour elle. Karna était pas con, il avait surement payé un Outlaws à qui j'avais entièrement confiance pour qu'il me mente. Je l'ai découvert bien plus tard, et c'est la première fois que je l'avoue. Ma réaction? J'ai attrapé le cadeau que Will Benson, l'outlaws m'avait offert. Un .50 qui avait appartenu à un Cartel Colombien. Cette arme je l'ai encore, elle est cachée... Je peux te dire où, tu es pas prêt d'aller la voler ni même de la trouver. Cette arme je tiens à ce qu'elle reste dans ma famille. Elle est caché exactement la où de nombreux morceau d'hommes sont enterré. Derrière la boucherie. M'enfin passons... Oublie ça, donc cette fille... On m'avait dit qu'elle m'a trompé, et qu'elle me trompait encore en ce moment même. Donc j'ai pris mon arme, appelé Karna, le gars qui m'a mentis est venu, à trois on a tendu un piège à cette nana. Aujourd'hui elle repose en paix dans la mer avec je ne sais pas combien d'impact de balles. Mon coeur revient aux IMC, pas à une femme. Voila, c'étais une de mes relations les plus sérieuses à ce moment, et j'avais compris que l'amour d'une femme, en ouvrant les yeux, j'avais celui des nombreuses putes qui ont travaillé pour moi, celle des petites salopes qui tournait au quartier, celui des petites nouvelles qui arrivé dans la famille. L'amour d'une femme peut être facilement, comment dire... Facilement oublié, par l'amour plus petit de plusieurs femmes, l'amour de sa famille. Alors cette étape je l'ai oublié, j'ai continué mon boulot...
- La fin D'un homme:
** Francesco semble réfléchir longuement se grattant la barbe puis se passant la mains droite sur le crane. Il finira par regarder longuement ses tatouages avant de rétorquer **
Un trou de mémoire... Mon identité, ma vie est racontée sur ma peau, donc j'ai pas de soucis de mémoire, juste des soucis de remémoration. On arrive facilement au bout de ma vie, car je te détaille pas comment tu fais pour appuyer sur gâchette, pour découper un homme, pour bouffer une partie de lui... Nan, oublions cela... La police me rechercher, la première fois que je me suis fais arrêter, ils ont voulu faire une perquisition chez moi pour trafic de drogue bien sur. Bon, je cache pas les nombreux kilos en ma Possession, mais Karna avait prévu le coup, les flics sont tombé sous une embuscade, BIM ! Aucun flic survivant, et moi, j'étais libre. Ils n'ont jamais réussis à m’arrêter, mais je devais être discret. Chaque individu, chaque message, pouvait cacher un flic. Chaque lieux pouvait être le dernier où j'étais. Des évasions de ce genre, j'en ai fais trois, j'ai même gagner le titre de Most Wanted sur Los Angeles. Sa c'étais vers la fin des IMC, et c'est sur ce titre, qu'on ma arrêté alors que je faisais paisiblement mes courses. Comment un seul et unique flic armé pouvait me faire mettre à genoux? Moi El Burro ! C'étais la fin pour moi, j'ai été dans une prison, puis transféré dans une autre avec Karna qui m'avait rejoins. Voila comment les IMC ce sont terminé, voila comment j'ai atterris au trou. Des centaines de douilles tombés au sol, des kilos d'Ganja fumé, des Kilos vendus, des litres de sang coulé au sol, des morceaux d'humains enterré, des centaines de flics corrompu, des milliers de billets vert et une famille dévasté. Voila ma vie. Quel vie ! Triste fin. Mes ennemis en ont ries, mes ennemis vont en pleurer un jours. Car si Dieux m'offre la possibilité de me racheter, Dieux me donnera la force de les mettre à genoux. Car je suis un homme, je suis un frère Impérial, un dirigeant Militar, et un fils du Christ. Que Santa Maria entende mes prières, et qu'elle m'aide dans mon calvaire. Un jour je sortirais d'entre ces quatres murs, et ce jour, mon rire celui du Diable, ma force celle de Dieux.
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