Ronald se tenait sur la route lumineuse et froide comme une statue gelée, en regardant l'agrandir et la forme d'un véhicule. La voiture s'est arrêtée prés du trottoir, là où Ronald était debout. Il était presque minuit et Ronald était vêtu de son manteau favoris. Le véhicule était une berline grise. La vitre descend et Michael apparu. Michael examine brièvement Ronald, puis parla d'une voix plutôt faible.
"Comment ça va, Ronnie. Le gars que tu dois en 'prendre soin' est au bar" on doit y aller à l'heure, il quittera dans environs .." Michael regarda vers le bas à sa montre.
Ronald était un homme grand, aux trentaines. Il était en bonne forme, et avait l'habitude d'être calme mais agressif. Il était un «homme d'affaires» qui a travaillé pour d'autres «hommes d'affaires».
".. Vingt-cinq minutes, tu vas l’exécuter là bas et partir en courant, j'peux pas te confier cette voiture, j'dois m'taper toute la route avec, vers Los Angeles. J'ai besoin d'toi pour faire ce dernier Job, pour moi Ronnie. Puis, on s'verra à LA, après quelques semaines, aller, amuses toi bien Ronnie, et cause pas trop d'bruit, hein."
Ronnie n'a pas parlé dans la froideur de l'air, pendant qu'il se frottait les mains, il a juste hoché la tête et regardé Michael partir, se demandant s'il le reverra après ce dernier travail. Il a commencé à courir sur le trottoir vers le bar de Joey, où le plan était de tuer quelqu'un qui causait des problèmes à beaucoup d'gens importants, pas seulement à ses amis, ni à lui même. Épuisé de la course, avec une gorge sèche, Ronald se pencha sur le mur de la ruelle, derrière le bar de Joey, fermant ses yeux et se concentrant et imaginant la scène, chaque personne et mouvement qui devrait être là une fois qu'il appuie sur la gâchette sur la gueule d'la cible.
Il entendit la porte ouverte, et quelques voix d'hommes sortent. Il respira, stressé et nerveux sont les mots qu'il a essayé d'ignorer, il ne pensait à rien, mais seulement à la chaude balle qui sortira de la fente de son arme. Continuellement, il respire, il tenait soudainement son souffle et glissa sa main droite dans son manteau, puis prenne son silencieux, il marcha lentement vers la porte du bar, où les trois hommes et la cible étaient installés et on l'air d'être en conversation. Il essuya la sueur de son front large avec sa manche, puis écoute.
"Donc, tu penses qu'elle t'sucera ? D'abord, y'en a déjà assez qui font ça, Joe!" Annonça l'un des trois hommes. "Stop m'casser les couilles, Okay ? Oui, y'en assez qui font ça, mais c'est elle qu'j'veux." Répondu Joe, qui était le propriétaire du bar. "Oh, oublies ça, les bouches affamés sont partout." Dit le troisième, lançant un léger ricanement. "Vos gueules, j'ai dis!" Cria Joe. Puis le silence tomba sur les trois.
Ronald a tenu son revolver serré dans les deux mains, marchant peu à peu, à droite sur le trottoir. Il s'arrêta, puis Joe le repéra. "Euh, Dom', j'veux t'parler dedans. Tony, attends là." Dit Joe. L'homme qui a été identifié sous nom de 'Dom' ainsi que Joe, rentrent dans le bar, quand la cible reste dehors avec ses mains dans ses poches, il soupira.
Ronnie fit quelques longs pas, il était en sourdine, il n'entendait que la balle qui sortait de la fente de son arme dés qu'il l'ai pointé sur la cible et tiré la gâchette plusieurs fois. C'était tout lent, mais en même temps extrêmement rapide. I l'ouvrit les yeux largement, les sourcils froncés, rien n'était entendu, l'arme était silencieuse. Il s'approcha, il regarda la cible identifiée, Tony, qui s’étouffe avec son propre sang. Ronnie baissa son arme, vise exactement le front de Tony, puis appuie sur la gâchette et s'en alla dans la ruelle immédiatement.
Il entendit Joey ouvrir la porte, avant que Ronald soit complètement disparu dans la ruelle, il pouvait l'entendre dire : "Un autre bienfait de Michael, que ferais-je sans ce ga'. Dom! Vient m'emporter cette merde d'ici, fous la dans ton coffre, j'vais pas l'faire moi même. Et si quelqu'un l'demande, dis lui qu'il ne fréquentait pas là depuis un moment. Compris ?
La voix de Joey écho dans le vide, Ronnie était parti.
Ronald ouvrit la porte de sa chambre de motel, et se jeta sur le lit. La lumière était éteinte, il poussa son arme sous le lit, après le nettoyage avec certains tissus du tiroir. Il regarda l'horloge sur le mur, qui était juste au dessus du télévision en face du lit. Vers quatres heures du matin, il était fatigué, comme il n'a jamais été depuis des siècles. Il y avait une salle de bains dans la chambre de motel aussi, petite mais convenable.
Il est de retour du monde des affaires, retour du travail. Et maintenant ? Sans c'qu'il fait, il n'a rien, il ne sait rien. Avec ses vêtements sales et mouillés de l’extérieur .. Il ferma les yeux et réussi à s'endormir, rêver de Tony au moment, avant sa balle pris contact avec son front. Avant ce moment-là, il pensa à appeler sa petite ami, Julia, mais il a changé d'avis au moment qu'il a pensé qu'elle lui demandera encore une fois, où il était, et qu'est ce qu'il a fait.
Matin. Yeux ouverts à peine, Ronald a finalement décidé d'enlever son manteau sale et encore légèrement humide et froid. Il le jeta négligemment sur le lit et entra dans la salle de bain, en fermant la porte derrière lui. Une heure plus tard, il a quitté la salle de bains comme une nouvelle personne, vêtements propres et rasé. Il se sentait bien. Il se sentait comme s'il est prêt pour une nouvelle journée. Prêt à faire la seule chose qu'il peut, la seule chose qu'un homme comme lui a la connaissance à faire.
Dix heures du matin. Ronnie n'a pas facilement dormi, mais il était toujours plein d’énergie. Il sourit, comme il sortait de sa chambre de motel, à ce matin ensoleillé, chaud. Il a pris un taxi et s'est dirigé vers le bar de Joey. Le chauffeur a immédiatement frappé la pédale, ne faisant aucun oeil avec le passager arrière. Ronnie n'a pas remarqué que le chauffeur était un peu nerveux, mais il a pu l'entendre quand il a dit : "Non, t'inquiète.", lorsqu'il lui a payé le coût de la balade. Le conducteur était un jeune homme, dans ses années 20.
Ronald n'a pas discuté avec le chauffeur, il marcha vers le bar de Joey, puis y entre. Comme prévu, le bar était plein de gens italiens actifs, quelques barmans qui sont occupés des boissons autour du comptoir. Il s'approche et ordonna l'eau froide avec des glaçons. Il était alcoolique, tout le monde le savait, et il se demandait toujours si les gens parlent derrière son dos, ou le considèrent comme un point faible d'une personne. Il jouait avec son pied avec impatience d'attente pour sa boisson. Soudain, une personne de grande taille, aux cheveux blancs et moustache noire apparut derrière lui et lui tapa sur l'épaule droite, c'était Joe. "Ronnie, merci pour la dernière fois, tu m'as sauvé d'quelques problèmes personnels." "Quand tu veux, Joey." "Ecoute, Michael m'a dit qu'il t'attendra à Los Angeles, il a dit qu'il veut qu'tu y sois à la fin d'cette semaine." Joe parlait d'une voix douce. Ronald se sentait confus pendant un moment, puis il lui répond finalement. "Ça signifie qu'c'est mieux qu'j'aille au motel, ramasser mon bordel, j'm'attendais à ça, j'vais m'amuser l'long d'la route." Joey étendit ses bras, câlina Ronnie qui à son tour tapote sur son dos plusieurs fois, puis salua quelques amis au passage avant de sortir.
Ronald était à quelques blocs du motel. Les rayons du soleil se signe sur son visage, alors qu'il marchait sur le trottoir. Soudain, il sentit une poussée, une poussée très exercées de pressions qui l'a poussé 6 mètres en avant, puis il tomba violemment sur le trottoir, son genou gauche était très amoché, il gémit de douleur. Il jeta un regard rapide vers sa gauche, puis il a vue une Freeway, une rouge, glissante sur la route. Il regarda encore aux alentours, puis il a vue un motard par terre. Ronnie n'avait pas de temps, il a entendu les sirènes de police, ils étaient probablement derrière le motard, il ne voulait pas cela, il n'avait pas les nerfs pour ça, il commença à se sentir lourd et fatigué, et sans aucune patience, il se leva, renforcé par sa rage extrême et il a couru. Boitant de la jambe gauche, il a fait son chemin vers le motel.
Il était temps de nuit et son genou gauche était bandé, il avait quelques taches rouges, c'était du sang mais il a mis son pantalon et ce n'était pas visible à quiconque. Il se préparait, saisit son sac qui contenait ses biens et se rendit à la porte. Avant son départ, il éteint les lumières et regarda par la fenêtre. Il regardait le monde extérieur, où tout était fou.
Ronald a donné à la chambre obscure un dernier regard, il fit en dehors puis ferma la porte. Ce n'était que le début.
Dernière édition par Ronald Caglione. le Ven 20 Jan 2012, 01:46, édité 11 fois
J’espère que tu n'vas m'torturer lors cette reproche foireuse, parce que je compte créer la deuxième version du Background, quand Ronnie commencera avec vous.
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
Bill_Levis
Membre 1
Date d'inscription : 04/12/2011 Messages : 367 Age : 32 Localisation : Erevan en Arménie