Giuseppe Scotti alias "Abruzzi"

John né d'un père Italien et d'une mère américaine, son père, politicien de Sardaigne se battant pour l'égalité, voyait en lui un futur bon citoyen, un bon chrétien. Mais dès ses 12 ans John ne voit pas les choses du même oeil que son père.
Il commence a fumer très jeune a l'âge de 12 ans, qui deviendra une de ses addictions. Ses parents anti-tabagistes, lui passent un "savon" et John est puni, il ne peut plus sortir dehors sans ses parents, sauf pour aller a l'école, jusqu'à ses 15 ans. John va au collège un jour, et un de ses camarades le charrie, et lui dit : "Alors tu es toujours un petit fils a papa et maman?! Ahah". John se met très en colère et frappe fortement son camarade... John frappa a un endroit près de son oeil où il n'aurait pas du et rend le jeune homme aveugle d'un oeil. John entendant ses cris, s'enfuit alors de son école en courant, et ne rentre pas chez lui ce soir là. Il s'enfuit vers la banlieue de Cagliari (capitale de Sardaigne) et dors alors dans la rue. John a peur, il fuit a chaque bruit de pas. C'est alors que l'obscurité devient son domainte et un de ses atouts.
Deux jours après John commence a avoir fin, il vole deux trois bonbons, mais pas assez pour se nourrir. Il prend la sage décision de rentrer alors chez ses parents après trois jours de fugue. En rentrant chez lui, ses parents sont contents, mais aussi très mécontents de leur fils, comment réagir?
John ne savait pas le pire, il a fuit mais pensé que l'oeil de son camarade aller alors "revenir normal" que c'était juste sur le moment qu'il était sonné. Son père lui dit très fermement : " John ! Tu me fais honte, tu as rendu ton camarade aveugle, l'oeil dans lequel tu as frappé ne fonctionne plus ! Et ce n'est pas tout, ces parents ont décidés de porter plainte tu vas être jugé pour ca ! Tu te rends compte !?"
John se renferme sur lui, ne pleure pas car il a bien trop de haine en lui.



Plusieurs semaines sont passés depuis que son père lui annonca le procès et les faits qui pèsent contre lui, John se remet en question comme quoi il n'aurait pas du le frapper, mais il reste borné sur le fait que son camarade n'aurait pas du se moquer de lui.
Le 18 Juin 1995, John a rendez-vous au palais de justice. Il rentre dans la salle d'audience, avec une seule envie, être jugé comme mineure, et ne pas allez en prison.

Voici quelques extraits de son premier procès :

"-Monsieur John, Joseph, Giuseppe Abruzzi, fils d'Aldo Abruzzi et de Marianne Scotti. Vous êtes aujourd'hui accusé de coups et blessures sur un mineur, la victime en question a perdu la vue de son oeil droit dans cette "bagarre". Reconnaissez vous les faits?

-Oui, madame la Juge, dit John d'un ton chétif

-Très bien. Faites entrer la victime, sa famille et l'avocat de la victime," s'exclama la juge d'un ton sec.

John commencait à avoir une boule ventre, et il voit son camarade entrer avec un cache-oeil. Après quelques discussions entre les avocats, et la juge, l'avocat de la victime lança :

"- Madame la juge, l'accusé est coupable, les discussions ne nous feront pas avancer, d'accord mon client reconnait s'être moqué de son camarade mais ca n'excuse pas la comportement de son camarade."

La juge frappa trois coups de marteaux avant de dire :

"-Très bien le jury va délibérer."
John et sa famille attendait alors la décision du jury. Au bout d'une heure la jury avait pris une décision... Le jury revenait dans la pièce tandis que John se sentait très bizarre, pour la première fois de sa vie le jeune homme avait une sensation de peur.

La juge dit alors :

"-Monsieur John, Joseph, Giuseppe Abruzzi, le jury a délibéré, et la sanction a été prise, je pense indispensable de vous envoyez en maison de redressement... A Los Angeles, vous partez demain matin à 9h."

Elle frappa trois coups de marteaux et leva l'audience.

Le lendemain matin, John disait au revoir à ses parents a l'aéroport de Cagliari, John était triste de laisser ses parents en Sardaigne, et de devoir partir pour Los Angeles.
8h15, John monta dans l'avion sous les au revoir de ses parents. Dans l'avion John rencontra un autre sardaignais de son âge qui s'appelait Vito, Vito Vitti. John discuta avec Vito qui était assis à côté de lui :

"-Salut pourquoi t'es là? questionna Vito.

-J'ai tabassé un mec qui se moquait de moi et je l'ai rendu aveugle... c'bouffon..., répondit John.

-Ouah, KO le mec, moi j'suis là parce que je me suis fait coincé par les flics en possession de drogue, je dealais un peu à la cité t'vois. Mais bon après j'avais un flingue sur moi, c'est ce qu'on appelle une circonstance atténuante.

-Mais pourquoi t'avais un flingue sur toi? Pour pas te faire racketter?

-Non... J'ai travaillé pour la mafia... Ce soir là pour être un vrai membre je devais buter un mec dans un parking.

-Carrément, tu fais pas les choses à moitié toi.

-A Los Angeles, je connais l'ami d'un mec de la mafia, on ira le voir si ca t'interesse l'ami, je compte pas rester dans cet internat pourri.

-Non excuse moi, mais c'est pas pour moi, j'ai juré de rester sage le jour ou j'ai eu mon procès...

-Réfléchis y deux fois mec, tu sais l'internat c'est pourri, tu vas crever de la dalle, c'est pas un hôtel mec, c'est pire qu'une prison.

-J'y repenserai... dit John sans écouter vraiment son voisin.

John s'endormit, et vu que l'on dit que le sommeil porte conseil, John cauchemarda d'un internat miteux... Il y repensa alors deux fois en se reveillant et dit à Vito, "Je te suis."
Vito expliqua alors son plan à John. Il devait s'evader du pensionnat par la grille d'aération, en déboitant un tuyau pour arriver dans le couloir du bas et sortir par la fenêtre. Comment Vito savait tout ca ? John lui demanda comment il savait tout ca, Vito lui répondit : " Tu sais quand les flics m'ont arretés ils m'ont donnés le nom du pensionnat, et j'ai trouvé les plans sur le web".
Mais en arrivant au pensionnat...

[A continuer.]