Quand mes parents m'on fait découvrir que dans une semaine, à la rentré, il me mettait en pensionnat.
Ma vie n'avait plus aucun sens pour moi... Je n'avais pas d'ami, et me sentir regetter comme ça. Ça me faisait mal, très mal.
J'aurais aimé avoir un grand frère qui m'aurait soutenu dans cette épreuve, celui qui m'aurait dit que c'était pour mon bien et tout...
J'osais plus sortir de ma chambre, rien. La semaine avant de rentrée en pensionnat, j'arrivais plus à rester chez moi, le moral n'était pas au rendez-vous.
Je sortais, je marchais sans arrêt, sans aucun but précis. Sauf celui de ne pas rentrer à la maison avant 19h, pour manger, dormir.
Le jour avant la rentrée, ma mère m'obligea à rester à la maison pour faire ma valise pour ne rien oublier.
Je suis rester au moins figer dix quinze minutes devant la valise, avec cette boulle au ventre dû stresse de partire de la maison pendant un trimestre.
J'ai récupéré la valise, avant de mettre chaque affaire lettement a l'intérieure, sans dire un seul mot.
J'allais découvrir un nouveau lieu, et des nouvelles personnes, mais c'est ça qui me rendait si stresser.
Mais triste de quitter l'environnement que je connais depuis que je suis née...